Exposition personnelle

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EXPOSITION

André Vereecken

Sint-Jozef Klein Seminarie, Kollegestraat 31 Sint-Niklaas du 13 octobre au 7 novembre, tous les jours ouvrables de 8 à 17 heures. Cela signifie qu'une partie de l'exposition André Vereecken déménagera de Walburg à l'adresse mentionnée ci-dessus.

Aucun miracle n'est à attendre, certainement pas dans la ville de l'ami des enfants le plus merveilleux de tous les temps. Néanmoins, l'exposition à Walburg a suscité un réel intérêt, même s'il n'était pas nécessaire d'aller à Cologne ou à Paris ou... Amsterdam. Il y avait aussi des dizaines de visiteurs à l'intérieur et à l'extérieur, mais je les laisse de côté. Bien que. Ils avaient pris la peine de venir, pourquoi ne pas prendre la peine de regarder tout de suite ? Même si André Vereecken n'apporte pas une rangée de natures mortes ou de prairies, son travail est techniquement et professionnellement responsable. Ou allons-nous encore chercher dans l'art ce que nous avons trouvé depuis longtemps, comme son ennui décoré et ses proches ? Peu importe.

Résumons une conversation de deux messieurs plus âgés avec André Vereecken. Et moi, en tant que témoin silencieux.

A. "Je vous ai vu apprendre à tracer des lignes droites il y a des années, et maintenant je ne trouve plus de lignes droites dans votre travail."

A.V. "C'est parce que je n'ai plus besoin de lignes droites."

A. "Je préfère les peintures (il dit quelques chiffres) parce que dans celles ci, les couleurs, en même temps sont harmonieuses et gardent les figures bien séparées les unes des autres".

B. "C'est un monde à part, on ne peut pas voir ça comme des peintures ordinaires. Il faut y réfléchir. Je vais jeter un coup d'œil à ce tableau que vous avez trouvé le meilleur".

Après une demi-heure d'observation, les messieurs sont revenus sur leurs pas et ont comparé.

En rentrant chez moi, à travers le parc qui est beau et peu utilisé, je me suis demandé : "qu'est-ce que ce serait, une peinture ordinaire ? ».

Je vais devoir retourner au Collège, car seuls les morts ne sont plus curieux.

Frans van Eyck